Gagner sa vie à la perdre
Annick Stevens
Article mis en ligne le 20 février 2019
Et si regagner son existence consistait à perdre ce qui occupe la majeure partie de nos vies ? Je propose un usage inversé de la bonne vieille formule « perdre sa vie à la gagner » pour plaider, non pas le provocateur « ne travaillez jamais » mais le pas de côté par rapport à la centralité du travail et de tout ce qu’il implique dans l’imaginaire social actuel, en vue d’une désaliénation radicale de celui-ci.
Lire la suite en pdf